URGENT: FÉLIX TSHISEKEDI ÉLU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO

Félix Tshisekedi Tshilombo est le vainqueur de l’élection présidentielle du 30 décembre 2018. Il a été élu avec 7.051.013 voix soit 38,51% du suffrage exprimé. Martin Fayulu sort deuxième avec 6.366.732 voix suivi de Ramazani Shadari avec 4.357.359 voix (Résultats provisoires).

Lumbamba Kanyiki

Comments

[HENRI BASUBI M]

cette démocratie à l'occidental risque de réduire, un chef, chez-nous mwami, à néant. alors nos députés élus ont l'obligation de légiférer des lois qui peuvent sauver la dignité du roi à l'africaine et proposer que le président puissent avoir la main mise sur tout.

[Zacharie, LeFils]

L’actuel président de la République Démocratique du Congo, Felix Antoine Tshisekdi Tshilombo se transforme en despote : « Felix Antoine Tshisekdi Tshilombo Ordonne la traduction en justice des policiers indisciplinés pour faire respecter l’autorité de l’État. »

Cette déclaration porte toutes les marques d’une tyrannie. En effet, dans un system démocratique ou dans un État de droit, il existe ce que le Philosophe Français, Montesquieu appelle la séparation des pouvoirs. L’exécutif, le législatif et le judiciaire sont des entités indépendantes. En sa qualité de président de la République, Felix Antoine Tshisekdi Tshilombo fait partie de l’exécutif dont il chapeaute. S’il pense qu’une personne physique ou morale a violé un intérêt public, sa fonction consiste à saisir le procureur de la République Démocratique du Congo ou toute autre entité compétente en la matière pour entreprendre une enquête liée aux allégations levées contre une entité concernée. C’est seulement quand le procureur de la République Démocratique du Congo out toute autre institution compétente se convainc de la violation de la loi que la personne visée peut être déférée devant la justice. Seule le procureur de la République Démocratique du Congo peut traduite une entité physique ou morale en justice au nom de l’État Congolais. Les instructions ordonnées directement par Felix Antoine Tshisekdi Tshilombo constituent bel et bien un empiètement de compétence. Felix Antoine Tshisekdi enfreint les fonctions du Procureur de la République ou de ‘auditorat militaire. En émettant publiquement une telle déclaration, il nie au judicaire son indépendance et réduit par ricochet les responsables de ces institutions au rang des marionnettes. Ces responsables seront obligés de se plier aveuglement aux injonctions du chef de l’État pour ne pas perdre leurs fonctions. Les policiers seront arrêtés non parce qu’ils ont enfreint la loi, mais plutôt parce que le président de la République Felix Antoine Tshisekdi veut qu’on les arrête. Il s’agit là d’une influence indue que Felix Tshisekedi doit évier dans l’avenir. Des lors, la grande question qui se pose est celle de savoir si ces policiers seront jugés objectivement et sans parti pris étant donné que le chef de l’État a déjà lui-même décidé de leur sort avant qu’une quelconque enquête indépendante n’ait été entamée. S’agit-il de l’application du principe de la raison du plus fort ? Seul Dieu nous le dira.

L’actuel président de la République Démocratique du Congo, Felix Antoine Tshisekdi Tshilombo se transforme en despote : « Felix Antoine Tshisekdi Tshilombo Ordonne la traduction en justice des policiers indisciplinés pour faire respecter l’autorité de l’État. »

Cette déclaration porte toutes les marques d’une tyrannie. En effet, dans un system démocratique ou dans un État de droit, il existe ce que le Philosophe Français, Montesquieu appelle la séparation des pouvoirs. L’exécutif, le législatif et le judiciaire sont des entités indépendantes. En sa qualité de président de la République, Felix Antoine Tshisekdi Tshilombo fait partie de l’exécutif dont il chapeaute. S’il pense qu’une personne physique ou morale a violé un intérêt public, sa fonction consiste à saisir le procureur de la République Démocratique du Congo ou toute autre entité compétente en la matière pour entreprendre une enquête liée aux allégations levées contre une entité concernée. C’est seulement quand le procureur de la République Démocratique du Congo out toute autre institution compétente se convainc de la violation de la loi que la personne visée peut être déférée devant la justice. Seule le procureur de la République Démocratique du Congo peut traduite une entité physique ou morale en justice au nom de l’État Congolais. Les instructions ordonnées directement par Felix Antoine Tshisekdi Tshilombo constituent bel et bien un empiètement de compétence. Felix Antoine Tshisekdi enfreint les fonctions du Procureur de la République ou de ‘auditorat militaire. En émettant publiquement une telle déclaration, il nie au judicaire son indépendance et réduit par ricochet les responsables de ces institutions au rang des marionnettes. Ces responsables seront obligés de se plier aveuglement aux injonctions du chef de l’État pour ne pas perdre leurs fonctions. Les policiers seront arrêtés non parce qu’ils ont enfreint la loi, mais plutôt parce que le président de la République Felix Antoine Tshisekdi veut qu’on les arrête. Il s’agit là d’une influence indue que Felix Tshisekedi doit évier dans l’avenir. Des lors, la grande question qui se pose est celle de savoir si ces policiers seront jugés objectivement et sans parti pris étant donné que le chef de l’État a déjà lui-même décidé de leur sort avant qu’une quelconque enquête indépendante n’ait été entamée. S’agit-il de l’application du principe de la raison du plus fort ? Seul Dieu nous le dira.

Zacharie Bilenge Mwadi Wanyama Kawena Ne Musambi

[Zacharie Bilenge]

L’HOMME QU’IL FAUT A LA PLACE QU’IL FAUT ET AU MOMENT QU’IL FAUT N’EST AUTRE QUE LE FILS DU SPHINX DE LIMETE, FELIX ANTOINE TSHISEKEDI TSHILOMBO. SON ASCENSION A LA MAGISTRATURE SUPREME DE LA RDC LOIN D’ETRE UN FAIT DU HAZARD EST UNE PROPHETIE DE LONGUES DATES.

Zacharie Bilenge Mwadi Wanyama Kawena Ne Musambi

[Zacharie Bilenge]

Respectons la CENCO. Ses remarques ont leur raison d'etre. La CENCO a tujours ete impartialle, et elle le sera toujours.

Zacharie Bilenge Mwadi Wanyama Kawena Ne Musambi

[Zacharie Bilenge]

L’HISTOIRE MARQUERA D’UNE PIERRE BLANCHE LA JOURNEE DU 30 DECEMBRE 2018. ENFIN DE COMPTE, L’UDPS A VAINCU.



Après tant de sacrifices, l’UDPS s’impose en maitresse absolu à la tête de la magistrature Congolaise. Que cette victoire panégyrique serve de leçon à tous les Congolais. Le prix que le peuple Congolais a payé pour avoir trahi la Conférence Nationale Souveraine Exécutoire a été lourde des conséquences dont il n’est point de rappeler.

Que cette victoire que le peuple Congolais a arrachée au prix du sang ne constitue pas une occasion pour les Congolais de jubiler, mais plutôt une occasion pour tous les Congolais de se faire un examen introspectif ou mieux encore un examen de conscience.

Le Congo est par terre. Rien ne marche dans le pays. Les coffres de l’Etat sont vides. Les droits des citoyens congolais sont bafoués. Le pays est emploie a une grave crise économique et financière. Que faire devant cette impasse. Il ne s’agit pas d’un problème individuel qui relève de la compétence exclusive d’une seule personne.

Ensemble, derrière notre éclaireur et seul président, Felix Tshisekedi Tshilombo nous pouvons sortir la République Democratique du Congo de ce dilemme.

QUE VIVE l’UDPS ! QUE VIVE FELIX TSHISEKDI ! QUE VIVE VITAL KAMERHE ! QUE VIVE LE PEUPLE CONGOLAIS ? A NOUS LA VICTOIRE

Zacharie Bilenge Mwadi Wanyama Kawena Ne Musambi